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Ce que vous propose Digital A Love Story c’est de vous envoyer cinq minutes dans le futur de 1988. À travers l’interface d’un ordinateur Amie (inspirée d’Amiga, forcément) découvrez une vaste conspiration sur internet, sauvez le monde en exploitant un buffer overflow, hackez le Gibson (le quoi ?

Un lapin, un chat étrange, un chapelier, des fleurs qui parlent, des cartes anthropomorphes… Si le début vous a peut-être fait penser à une chanson d’Ilona Mitrecey vous avez forcement reconnu par la suite le conte de Lewis Carroll. C’est à celui-ci que nous faisons référence aujourd’hui avec le visual novel Tokyo Alice.

I Have No Mouth, and I Must Scream, connaissez vous le jeu ? Non, la nouvelle peut-être ? Non plus ? alors peut-être connaissez vous son auteur : Harlan Ellison ? Non ? Il est difficile de ne pas trouver de critiques sur le web ne faisant pas l’éloge de ce jeu, pourtant, il n’a pas tant marqué de gens en 1995, lors de sa sortie.

Reservoir Dogs est un film de Quentin Tarantino, devenu tellement culte que Volatile Games a décidé d’en faire un jeu. La tâche n’étant pas simple (80% du film est tourné dans un hangar faute de budget), vont-ils réussir leur adaptation ?

Cave Story est l’un des premiers jeux indépendants qui a vraiment su se faire connaître. Il a été créé par une seule personne, Pixel, un passionné de jeux rétro, qui a su réunir les meilleurs éléments de certains de ces jeux (Metroid, Metal Slug…) dans Cave Story.

Un autre jeu fait par Sybex. Pour ceux à qui ça ne dirait rien, Sybex est une société surtout connue pour ses revues informatiques, logiciels et dans le monde du jeu vidéo pour ses guides stratégiques. Par contre on ignore souvent qu’elle a aussi développé ses propres jeux.

C’est en 2003 que des anciens de 2015 (le studio responsable des Medal of Honor) créent leur propre studio : Infinity Ward et leur propre franchise de FPS portée sur la guerre, les Call of Duty. La première chose dont on peut parler c’est de la mise en scène juste superbe, c’est certainement la chose la plus remarquable de la série, les derniers opus se gavant tellement de scripts et d’une facilité déconcertante que l’on se croirait dans un film interactif, à noter que cette mise en scène semble tout droit héritée de MoH Débarquement Allié.