Trois ans après que Capcom ait officialisé le Survival Horror Resident Evil et un peu moins d’un an après sa récidive Resident Evil 2, Konami nous propose sa propre version de l’horreur.
Retour dans l’étrange petite ville de Silent Hill. Retour dans l’enfer ardant.
Si vous vous intéressez un tant soit peu au secteur vidéoludique il semble quasiment impossible que vous ne connaissiez pas Castlevania, série phare de Konami qui a traversé les âges jusqu’à devenir un emblème du jeu vidéo. La saga prend ses racines en 1986 sur NES et MSX2 sous le nom de Akumajō Dracula, qui sera renommé Castlevania sur la console de Nintendo une fois arrivé chez nous.
Les Simple 2000 Series constituent une gamme de jeux à petit prix (proposés à 2000 yens soit une quinzaine d’euros) sur PS2. Comme sa grande sœur, la gamme Simple 1500 Series s’exerçant sur PS1, les jeux sont souvent mauvais voir extrêmement simplistes, le faible coût de production permettant de pallier à toutes mauvaises ventes.
Deux ans après la sortie de ce qui est devenu une figure de proue du Survival-Horror, Capcom remet le couvert avec Biohazard 2 (Resident Evil 2 chez nous). Prêts à replonger dans l’horreur ?
Le jeu prend place quelques mois après les incidents du manoir Spencer.
C’est en 1993 que sort l’Atari Jaguar, console légendaire, qui à l’instar de la Dreamcast aura provoqué la mort de son constructeur tout en s’entourant d’une large communauté de fan. La console est épaulée par Jeff Minter, game designer talentueux connu pour ses jeux aussi addictifs que déjantés (et aussi, accessoirement, pour son amour concernant les causes perdues…).
Kanon. Ce nom ne vous dit peut-être rien et c’est tout à fait normal, le visual novel étant un genre inconnu en France, jusqu’à récemment grâce à la portable à deux écrans de Nintendo. Sachez, pourtant, que le titre est considéré comme un classique du genre dans son pays natal et devant son succès retentissant, a eu droit à plusieurs adaptations en manga, animé Japonais ou drama audio.
Vous avez trente minutes à tuer ? Que diriez-vous de vous faire un platformer rétro de type die and retry où l’avancée des niveaux serait rendue plus pénible par une divinité changeant les règles de jeu ? Bien, c’est par ici que ça se passe.
Ce que vous propose Digital A Love Story c’est de vous envoyer cinq minutes dans le futur de 1988. À travers l’interface d’un ordinateur Amie (inspirée d’Amiga, forcément) découvrez une vaste conspiration sur internet, sauvez le monde en exploitant un buffer overflow, hackez le Gibson (le quoi ?
Un lapin, un chat étrange, un chapelier, des fleurs qui parlent, des cartes anthropomorphes… Si le début vous a peut-être fait penser à une chanson d’Ilona Mitrecey vous avez forcement reconnu par la suite le conte de Lewis Carroll. C’est à celui-ci que nous faisons référence aujourd’hui avec le visual novel Tokyo Alice.
I Have No Mouth, and I Must Scream, connaissez vous le jeu ? Non, la nouvelle peut-être ? Non plus ? alors peut-être connaissez vous son auteur : Harlan Ellison ? Non ? Il est difficile de ne pas trouver de critiques sur le web ne faisant pas l’éloge de ce jeu, pourtant, il n’a pas tant marqué de gens en 1995, lors de sa sortie.