Fort d’une des licences vidéoludiques les plus juteuses de notre temps, Level-5 nous propose un troisième épisode pour sa série de jeux d’aventure et de réflexion Professeur Layton. Après un second opus qui n’était pas exactement la suite que l’on aurait pu attendre, il est légitime de se demander ce que vaut Le Destin perdu.
Qui ne connaît pas le professeur Layton ? En six ans la série dont il provient se sera classée parmi les jeux d’aventure les plus vendus de la DS et il est probable que si vous demandiez à vos grands-parents de citer des héros de jeux vidéo, le professeur d’archéologie anglais au haut-de-forme soit une des premières réponses citées.
En 2001, le jeu Rez avait marqué les esprits par son utilisation de la synesthésie. La synesthésie kézako ? Il s’agit, de l’association de plusieurs sens. A la base une maladie reposant sur des troubles neurologiques qui fait associer des lettres à des couleurs ou des couleurs à des sons selon la nature des maux, la synesthésie est aussi utilisé en art pour tenter de reproduire les sensations chez des non-synesthètes.
L’idée d’incarner le ninja des MGS n’est pas toute neuve. En 1999 déjà, le jeu Metal Gear Solid Missions Speciales (le prologue aux Subsistence) comportait Gray Fox en tête d’affiche et proposait de le contrôler à travers trois missions via un gameplay incroyablement complet.
Grâce à son gameplay complet et sortant du lot, grâce à un monde très riche et un scénario travaillé, complexe et à teneur historique, Bioshock s’était imposé dès sa sortie comme une référence du FPS. Bioshock 2, prolongeant le succès de son aîné, n’était que l’ombre de son grand frère.
Quand on parle de visual novel, Saya no Uta fait figure d’incontournable et d’intouchable. L’œuvre majeure de Nitroplus, fleurant entre horreur et fantasy, n’est malheureusement pas à réserver à tout le monde. Plus précisément à cause de son parti pris graphique, qui consiste à représenter le monde de la façon la plus organique qui soit, mais aussi à cause des propos tenus parfois difficilement soutenables.
Metal Gear, c’est avant tout une des plus grandes séries du jeu vidéo. Des titres qui auront démocratisé le genre de l’infiltration (non, on ne t’oublie pas Thief), tout en proposant un scénario de qualité narré par des cinématiques et des phases de dialogue innombrables et interminables.
Nous sommes en 1991, alors que la série Ninja Gaiden en est déjà à son troisième épisode au Japon et aux US, le premier opus daigne juste pointer le bout de son nez sur nos consoles européennes. Rebaptisé Shadow Warriors alors arrivé chez nous puis doté du sous-titre Ninja Gaiden à la hâte (uniquement sur la couverture de la boite et du manuel).
Jamais deux sans trois. Après la bombe qu’était Uncharted 2, il n’est pas étonnant de voir Naughty Dog repartir à l’assaut. Les développeurs ricains arriveront-ils encore à innover sur une série qui semble ne plus rien avoir à apporter ?
Après un premier épisode convaincant mais non exempt de défauts, le Naughty Dog nous revient enragé et nous sert une suite plus travaillée et plus aboutie. Les aventures de Drake arriveront-elles à nous captiver une seconde fois ?
Quelque temps après avoir trouvé le trésor de l’Eldorado, Nathan Drake, pas décidé à prendre sa retraite, repart pour une aventure mouvementée, sur les traces de la pierre de Chintamani.