Ça faisait longtemps qu’on l’attendait et voilà que le nouvel épisode de la série la plus fanboyesque de Nintendo pointe le bout de son nez. Cette nouvelle mouture est très particulière puisqu’elle se décline à la fois en version console de salon, mais aussi, et c’est une première, en version console portable.
Vous avez trente minutes à tuer ? Que diriez-vous de vous faire un platformer rétro de type die and retry où l’avancée des niveaux serait rendue plus pénible par une divinité changeant les règles de jeu ? Bien, c’est par ici que ça se passe.
Attendu comme un messie, la franchise la plus fanboyesque de Nintendo aura su se faire attendre auprès des joueurs. Entre Melee et l’épisode N64 le fossé était large mais entre la Wii et sa petite sœur le hardware est quasiment identique et quand on sait que le soft ne tire pas du tout partie des capacités de la Wiimote, il y a de quoi craindre la simple mise à jour.
Après avoir pris des vacances mouvementées sur l’île Delfino, Mario reprend du service dans un épisode toujours plus haut en couleurs.
Ça y est ! C’est le jour de la Fête de l’étoile au Royaume Champignon. Mario rejoint la cour du château où la fête bat son plein quand soudain Bowser saborde celle-ci avec ses forteresses volantes - enlèvePeachaupassage - et déclare qu’il va bâtir un nouvel empire galactique.
Rayman a eu une vie avant de finir second rôle dans des party-games ayant pour star des lapins crétins, cette vie c’est celle de trois superbes jeux (je ne compte pas les spin-offs médiocres) qui arriveront à chaque fois à renouveler l’attraction des joueurs.
Mario Land, une série définissant les aventures portables de Mario ne s’était plus manifestée depuis les épisodes Gameboy, il n’avait été question que de remakes (Mario Advance et 64 DS) et de retours au source (New Super Mario Bros), oui mais ce Super Mario 3D Land est il bien un épisode complètement orignal ?
Infogrammes, pas peu fier de son Tintin au Tibet, décide de remettre le couvert en adaptant sur Gameboy une autre BD de la série en guise de suite. Verdict ? Un jeu encore meilleur.
Il faut d’abord rappeler que le jeu est une adaptation du Temple du Soleil, comme son nom l’indique, mais aussi des Sept Boules de cristal, ce qui semble logique vu que les deux histoires n’en forment qu’une seule.
Un an après la version Super Nintendo, Tintin au Tibet est décliné sur tous les supports de l’époque, la Game Boy n’échappe donc pas à cette règle.
Pour adapter les aventures de Tintin, Infogrames a donc décidé de faire un jeu de plates-formes pur et dur, comprenez qu’il n’y a pas d’ennemis à battre, normal quand on sait que Tintin est non violent.