Pour être honnête rien ne laissait présager que ce WarioWare serait incroyable: sortie peu de temps après son annonce, disponible à la moitié du prix d’un jeu normal et ne disposant pas d’un gameplay tirant parti des capacités de la console comme les précédents opus.
Sayonara Wild Hearts est un jeu d’action musical qui est une sacrée bonne surprise.
L’histoire du jeu se présente un peu comme un conte et les différents personnages sont inspirés de cartes de tarot. Des puissances maléfiques (la Mort, le Diable, la Lune, etc.
Wario Ware, la série la plus délirante de Nintendo pointe le bout de son nez moustachu sur Wii. Les épisodes de la série ont toujours su tirer parti des façons de jouer différente des supports sur lesquels ils sont sortis, on va voir si ce Smooth Moves arrive à bien tirer parti de la Wiimote.
En 2001, Phoenix Wright Ace Attorney sortait au pays du soleil levant en se présentant comme étant une simulation d’avocat. Vu comme ça, cela paraît très chiant mais le jeu proposait une excellente narration et prenait extrêmement de liberté par rapport à la profession pour garantir un plaisir maximal de jeu.
Je me souviens de la première fois où j’ai entendu parler de Gravity Daze (qui deviendra Gravity Rush hors du Japon à sa sortie). Développé par de grands noms du survival horror (Forbidden Siren), ce n’était alors qu’un petit trailer illustrant un jeu original où le joueur déplaçait le personnage en changeant la gravité.
En 2001, le jeu Rez avait marqué les esprits par son utilisation de la synesthésie. La synesthésie kézako ? Il s’agit, de l’association de plusieurs sens. A la base une maladie reposant sur des troubles neurologiques qui fait associer des lettres à des couleurs ou des couleurs à des sons selon la nature des maux, la synesthésie est aussi utilisé en art pour tenter de reproduire les sensations chez des non-synesthètes.
Ce que vous propose Digital A Love Story c’est de vous envoyer cinq minutes dans le futur de 1988. À travers l’interface d’un ordinateur Amie (inspirée d’Amiga, forcément) découvrez une vaste conspiration sur internet, sauvez le monde en exploitant un buffer overflow, hackez le Gibson (le quoi ?
EDIT : Ce jeu est en fait un portage du jeu Gekisha Boy paru sur PC-Engine. Merci de le prendre en compte lors de la lecture de l’article.
Les Simple Series sont une gamme de jeux japonais apparus sur PlayStation avec les Simple 1500 Series (comprenez qu’ils étaient vendus à 1500 yens soit à peu près une quinzaine d’euros), les jeux sont la plupart du temps très basiques (Mahjong…) néanmoins le faible risque commercial dû au coût de production ridicule permet aussi de voir apparaître de petites perles méconnues dont fait partis ce The Cameraman, développé par Irem Software (R-Type).
Après le succès des deux premiers opus, Namco décide de porter sa franchise sur console portable, pour thème il décide de prendre les vacances, summer time pour les Katamari !
Katamari fait partie de ces rares jeux ovnis qui ne sont pas forcement étranges de par leur concept mais aussi par tout ce qui englobe l’univers, la narration ou tout ce qui l’entoure.
Après avoir été le personnage principal de quatre épisodes d’une série qu’il avait emprunté à son alter ego Mario, Wario décide de créer une nouvelle franchise, cette fois plus d’allers-retours dans des temples au trésor, Wario réinvente le mini-jeu.
Difficile d’expliquer un concept comme celui-là, imaginez une compilation de mini-jeux complètement loufoques s’enchaînant aléatoirement de plus en plus rapidement avec un coté prononcé sur l’adaptation du joueur aux situations proposées et sur le scoring, tout cela avec un rythme d’enfer de plus en plus frénétique.