No More Heroes c’était une série de bta déjantée créée sur Wii par l’iconique game designer Suda Pastis. On croyait la série morte et enstérée mais v’là-t’y pas qu’il nous sort un spin-off sur Switch, celui-ci intriguant par le fait que Suda ayant un partenariat avec plein de développeur indépendant pour la sortie de son jeu.
Puella Magi Madoka Magica est ce qui arrive quand on confie le scénario d’un Magical Girl à Gen Urobuchi (Saya no Uta quand même). En lieu et place d’une fiction gnangnan visant les petites filles on se retrouve avec une oeuvre qui révolutionne le genre, au scénario très noir et aux personnages torturés.
En 1989, Konami sort Teenage Mutant Hero Turtles sur Arcade, s’il porte le même nom, ce jeu n’a strictement RIEN à voir avec la version NES, c’est d’abord un beat them all et non un jeu d’action aventure sidescroller et c’est ensuite un jeu d’une grande qualité et d’une grande fidélité à la série (le rêve de tout fan de l’époque en fait).
Pokémon Rumble est un des meilleurs spin-off de la série Pokémon. Sorti sur le WiiWare, c’est un beat them all très réussi et jouable jusqu’à 4 (je vous renvoie à mon test). Ici nous sommes face au 3e épisode de la série, on remarquera que celui-ci est une nouvelle fois en dématérialisé alors qu’Ambrella avait sorti le second épisode en boîte sur 3DS.
Entre un Odin Sphere aux inspirations scandinaves et un Dragon’s Crown plongé dans un monde médiéval fantastique, les développeurs Vanillaware ont réalisé un des jeux les plus emblématiques de la Wii se nommant Muramasa The Demon Blade. Si vous ne connaissez pas les développeurs ni aucun de leurs jeux, sachez que ce sont des anticonformistes qui s’acharnent à pondre des jeux 2D somptueux résolument rétro et prenant chaque fois place dans un univers différent comme mentionné plus haut.
L’idée d’incarner le ninja des MGS n’est pas toute neuve. En 1999 déjà, le jeu Metal Gear Solid Missions Speciales (le prologue aux Subsistence) comportait Gray Fox en tête d’affiche et proposait de le contrôler à travers trois missions via un gameplay incroyablement complet.
Quelques brefs avis sur des jeux Android sur lesquels j’aurais aimé parler plus en détail ou non, mais qui méritent quand même que je leur consacre quelques lignes.
Super Monsters ate my Condo : Un jeu qui devait avoir un article à la base, si celui-ci n’avais pas effacé ma partie et qu’une série d’empêchement ne m’avais pas frappé.
Peu coutumier des suites, Grasshopper nous en offre pourtant une pour son No More Heroes. La récidive est-elle réussie ?
Après la sortie du sanglant MadWorld dans nos contrées, il semble que les européens se soient déridés et aient laissé de coté la censure pour cette fois.
No More Heroes avait prouvé que la Wii pouvait accueillir des titres chargés d’hémoglobine. Les consommateurs européens, frileux de voir ce genre de jeux sur une console familiale, s’étaient retrouvés avec une version censurée. Un an plus tard, le nouveau né PlatinumGames (à qui l’on devra Bayonetta et Vanquish, tout de même) retente le pari en nous produisant un jeu plus gore et plus sadique que celui de Grasshopper.
Après l’étrange Killer 7, Suda 51 revient avec No More Heroes.
Quelques mots sur la localisation du jeu pour commencer. En Europe le jeu a souffert d’une censure : le jeu assez gore et violent (peut-être trop pour la Wii ?