Au sommet de sa gloire, le Professeur Layton décide de tirer sa révérence avec un ultime épisode venant clore la trilogie Aslantes déjà amorcée et mettant fin à ses aventures. Pour l’occasion, Level 5 ne s’est pas tourné les pouces et a décidé d’offrir un très beau cadeau d’adieu aux fans du gentleman au haut-de-forme.
Après 4 jeux sur Nintendo DS et un film, les aventures du Professeur Layton investissent la nouvelle portable 3D de Nintendo. Au Japon, elles figureront au line-up de la console puis arriveront presque deux ans plus tard, par miracle, sur le vieux continent.
Après avoir contribué au renouveau du jeu d’aventure et signé un des meilleurs jeux du genre sur le support, Level 5 nous dessert un quatrième épisode pour sa série de jeux à énigmes : Professeur Layton. Cet opus marque un tournant dans la saga puisque la trame s’y déroule plusieurs années avant celle des autres épisodes.
Fort d’une des licences vidéoludiques les plus juteuses de notre temps, Level-5 nous propose un troisième épisode pour sa série de jeux d’aventure et de réflexion Professeur Layton. Après un second opus qui n’était pas exactement la suite que l’on aurait pu attendre, il est légitime de se demander ce que vaut Le Destin perdu.
Qui ne connaît pas le professeur Layton ? En six ans la série dont il provient se sera classée parmi les jeux d’aventure les plus vendus de la DS et il est probable que si vous demandiez à vos grands-parents de citer des héros de jeux vidéo, le professeur d’archéologie anglais au haut-de-forme soit une des premières réponses citées.
Quand on parle de visual novel, Saya no Uta fait figure d’incontournable et d’intouchable. L’œuvre majeure de Nitroplus, fleurant entre horreur et fantasy, n’est malheureusement pas à réserver à tout le monde. Plus précisément à cause de son parti pris graphique, qui consiste à représenter le monde de la façon la plus organique qui soit, mais aussi à cause des propos tenus parfois difficilement soutenables.
Kanon. Ce nom ne vous dit peut-être rien et c’est tout à fait normal, le visual novel étant un genre inconnu en France, jusqu’à récemment grâce à la portable à deux écrans de Nintendo. Sachez, pourtant, que le titre est considéré comme un classique du genre dans son pays natal et devant son succès retentissant, a eu droit à plusieurs adaptations en manga, animé Japonais ou drama audio.
Ce que vous propose Digital A Love Story c’est de vous envoyer cinq minutes dans le futur de 1988. À travers l’interface d’un ordinateur Amie (inspirée d’Amiga, forcément) découvrez une vaste conspiration sur internet, sauvez le monde en exploitant un buffer overflow, hackez le Gibson (le quoi ?
Un lapin, un chat étrange, un chapelier, des fleurs qui parlent, des cartes anthropomorphes… Si le début vous a peut-être fait penser à une chanson d’Ilona Mitrecey vous avez forcement reconnu par la suite le conte de Lewis Carroll. C’est à celui-ci que nous faisons référence aujourd’hui avec le visual novel Tokyo Alice.
I Have No Mouth, and I Must Scream, connaissez vous le jeu ? Non, la nouvelle peut-être ? Non plus ? alors peut-être connaissez vous son auteur : Harlan Ellison ? Non ? Il est difficile de ne pas trouver de critiques sur le web ne faisant pas l’éloge de ce jeu, pourtant, il n’a pas tant marqué de gens en 1995, lors de sa sortie.